Le film est raconté dans
deux époques différentes de la même famille. L’une est sur la vie d’un jeune
homme est un jeune homme, Pierre, qui apprend que son père est décédé, il
décide donc d’aménagé dans la maison familiale. 
Marc, son frère, est la seule famille qui lui reste. L’autre histoire se
déroule dans le temps de leurs parents, un peu avant la naissance de Pierre. Il
fuit difficile pour le couple d’avoir un enfant, car à chaque fois, Françoise
faisait une fausse couche. La sœur de Françoise, Rachel tomba enceinte de son
mari. L'homme qui avait honte d'avoir mit enceinte la sœur de sa femme, voulait
que celle-ci ne raconte rien à personne sur leur relation. Alors tout le monde
croyait qu’elle s’était faite violée par un prête leur de ses heures de
travail. Mais ayant des remords, elle raconte tout lors des confessions à l’église.
Seule une personne connaît la vérité. Au fur et à mesure du film, on découvre
plusieurs secrets, comme la trahison du mari, la confession, qui est le père de
Marc, etc.  Durant l’époque du couple,
Hitchcock est venus à Québec filmé  I Confess et Robert Lepage en fait
référence. Le genre cinématographique est le drame. Il y a beaucoup d’effets
visuels comme le Koulechov avec le rasoir. Il y a un long plan séquence de
quand Pierre s’en va dans le sauna. Il y a aussi la surimpression, lors des
auditions pour le film d’Hitchcock, une jeune fille lis un texte, l’image
change sur une lectrice de nouvelle qui continue les paroles de la jeune fille.
Il y en a un autre lorsque Marc est recroquevillé dans un lit et que l’image
change sur le ventre de sa mère, qui représente Marc dans son ventre. Un fait
marquant dans le film, le mari raconte son histoire à Hitchcock et c’est à se
moment qu’on comprend que c’est lui le père de Marc. Dans les deux histoires,
on raconte la misère qu’à vécut la famille Lamontagne.  La mère et le fils se sont suicidés à la fin.
Durant tout le film, Pierre tente de faire partir les traces des cadres sur les
murs et lorsqu’il réussit enfin, toutes les personnes de sa famille sont
mortes. Lepage utilise souvent le bleu, comme couleur principale. Ce film à
remporter plusieurs prix dont, Le prix Génie Claude Jutra et de la meilleur
réalisation, prix international de la presse au Festival international du film
d’Istanbul, en 1996. Celui du meilleur scénario canadien au Festival international
du film de Vancouver, du meilleur film canadien au Sudbury Cinéfest,  le prix Bayard d’orla meilleure contribution
artistique au Festival international du film francophone de Namur, en 1995.
 Le
polygraphe
Le
deuxième film que nous avons choisi de Robert Lepage pour notre analyse est le Polygraphe. Ce film raconte
l’histoire d’un meurtre survenu quelque semaine auparavant, qui n’a toujours
pas été résolu. La police soupçonne, François, l’ex conjoint de la femme qui a
été assassinée dans son appartement. Ce dernier se croit innocent. Une de ses
amies est réalisatrice et elle veut réalisée un film sur le meurtre de
Marie-Claire. Il n’est pas d’accord avec l’idée et lui fait comprendre. Elle
décide quand même de le faire et c’est sa voisine, Lucie, qui obtient le rôle
de Marie-Claire dans le film. Plus l’histoire avance plus François doute de son
innocence, puisque le test du polygraphe donne toujours des mauvais résultats.
Lucie se pose beaucoup de question sur le meurtre de Marie-Claire, ça
l’intrigue énormément. Son voisin n’est pas content que celle-ci fasse le rôle
principal puisse que ça lui ramène de douloureux souvenir, de moments passés
avec elle. Son passé refait surface. De plus il y a son ancienne copine qui est
encore dans le décor, elle lui fournit un alibi, malgré cela c’est difficile
pour lui de se faire à l’idée que ce n’est pas lui le tueur. Claude tente de le
réconforter puisqu’elle ressent encore des sentiments pour lui. Mais ce dernier
était follement amoureux Marie-Claire et n’arrive pas à l’oublier. L’ex copine,
Claude, était follement jalouse et elle la détestait profondément. À la fin du
film on sait finalement qui est l’auteur de cette horrible scène de crime. Il y
a aussi un homme allemand, Hans, que nous n’avons pas très bien compris sont
rôle dans l’histoire. Le genre cinématographique de ce film est le drame et le suspense,
puisqu’on parle ici de meurtre et d’enquête policière. Le film est assez dur à
comprendre, il faut être très attentif tout au long du film sinon tu perds des
bouts. L’histoire est très intéressante, les relations entre les personnages
tournent beaucoup autour de l’amitié, le sexe et l’amour. Les acteurs ont très
bien joué et on reste intriguer tout le long du film. Il reste que le contenu
du film est très complexe. Les images sont assez diversifié, on peut voir que
les scènes tourné son souvent dans l’appartement de l’homme et de sa voisine,
sur le plateau de tournage, sur le toit du bloc appartement et dans le
restaurant où l’homme travail. Pour ce qui est des plans de caméra, il y en
avait de tous les genres, des contre plongé, il y avait beaucoup de gros plan
comme image, des panoramiques et des travellings.  Le film est assez sombre, donc la lumière est
peu présente tout au long du film. Robert Lepage a essayé de créer une
atmosphère un peu lugubre avec l’affaire du meurtre. C’est toujours intéressant
de mélangé l’anglais et le français dans un film québécois, ça nous montre la
réalité dans lequel on vit au Québec. Ce film a été nominé dans plusieurs
catégories dont, la Meilleure réalisation, le Meilleure scénario et j’en passe,
mais n’a reçu qu’un seul prix, celui de FIPRESCI du Festival International du
Film de Istanbul en 1997. 
La
face cachée de la lune
Dans
les cinq films que robert Lepage a réalisé, nous avons choisi de faire notre
troisième analyse sur le dernier qu’il a réalisé, c’est-à-dire, la face cachée de la lune. Le film a été
réalisé en 2003 dans la ville de Québec. L’histoire se déroule à Québec ainsi qu’à
Moscou. C’est l’histoire d’un homme passionné par l’astronomie. Il tente, pour
la troisième fois, de passer son doctorat en la matière afin de se spécialiser
davantage sur le sujet. Robert Lepage joue le personnage principal du film,
Philippe ainsi que celui de son jeune frère, André. Ils vivent des moments
difficiles puisqu’ils ont perdu leur mère, lui et son frère sont donc les seuls
qui reste dans leur famille. Ils ne s’entendent pas très bien car ils ont des
intérêts très différents, ce qui les éloigne d’avantage. En même temps de faire
son doctorat, Philippe travail dans une compagnie de vente téléphonique. Sa patronne
est plutôt dure avec lui et elle finit par le renvoyer à cause d’appels privés
qu’il effectuait lors de ses heures de travail. Seul laissé à lui-même, il
décide de se concentrer sur sa passion qui est l’astronomie, il participe donc
à un concours créé par la compagnie S.E.T.I., qui consiste à faire une vidéo, qui
sera diffuser dans l’espace, pour d’éventuelles rencontres avec les
extraterrestres sur terre. Entre temps, il fait un voyage à Moscou, pour
discuté de son sujet de thèse avec un astronome. En revenant de son voyage, il
apprend que sa vidéo sera sélectionnée pour le concours. Son frère lui
annonçant cette nouvelle, décide de fêter ça. Le film se termine assez bien
puisque les deux frères finissent par se rapprocher. Le genre du film est le
drame, puisque tout au long du film on fait référence à la mort de la mère, à
la solitude et aux échecs du personnage principal. Dans le préambule du film,
Robert Lepage raconte qu’il a souvent vécu dans la crainte de perdre ses
parents et, avec eux, tous ses repères. Il a souvent fait des cauchemars tels
que, ses parents mouraient, il perdait donc ses points d’ancrage et partait à
la dérive dans le cosmos. D’où vient la scène finale où le personnage principal
attend à l’aéroport. Tout d’un coup, les choses dans son sac se mettent à
sortir et à s’envoler, puis lui aussi à son tour, jusque dans l’espace. On peut
donc dire que le film La Face cachée de
la lune est son autobiographie. L’écriture du film à beaucoup embêter
Robert Lepage, il dit de celle-ci qu’il a utilisé une écriture littéraire,
comme s’il écrivait un roman. Le film à remporter plusieurs prix en 2004
dont : le prix de la presse internationale au Festival international du
film de Berlin, le prix Génie de la meilleure adaptation à l’écran, le prix
Jutra pour le meilleur maquillage et le prix du meilleur film francophone au
Festival international francophone de Namur.
 



