Explorer le contenu du blog de Mariane Roy pour découvrir les arts

mardi 15 novembre 2011

 Lors de notre visite au musée d’art contemporain, Triennal québécoise 2011, l’œuvre qui ma le plus attirée est, Aire : Voie libre (le pavillon) 2010, de Jake Moore.

L’œuvre me fait sentir bien, confortable, elle est rassurante. Elle me fait penser à l’enveloppement des ailes d’un oiseau, comme une mère serrant son enfant dans ses bras. Ce geste de réconfort se fait sentir par le son, la lumière et l’espace. L’artiste à construit un petit tunnel dans lequel nous pouvons nous réfugier. Au centre de celui-ci, un creux est formé, ce qui donne l’impression des ailes se refermant sur nous. Nous pouvons entendre le battement des ailes d’un oiseau, qui fait penser aussi à un battement de cœur. Au sol, des ombres d’oiseaux, de plumes et se qui ressemble étrangement à des silhouette de chats, sont projetés. Les plumes du tunnel sont retenues par des grandes tiges de ramilles d’arbres. Mais est-ce vraiment ce que l’artiste a voulu faire ressentir au public?

lundi 24 octobre 2011

la balade de l'impossible


Mercredi dernier, nous sommes allés à Montréal, voir un film au FNC (festival du nouveau cinéma). Le film se nomme La balade de l'impossible du réalisateur Tran Anh Hung. J'ai trouvé le film très intéressant, le jeu des acteurs aurait pus être mieux, sans pour autant dire qu’il était médiocre. Mais à certains moments tragiques, je ne ressentais pas la tristesse véhiculé chez plusieurs personnages. À mon avis, le personnage principal à bien été choisi, car il interprétait bien son rôle. Toutefois, j’ai bien aimé la façon donc le film a été filmé. Le réalisateur nous transmettait la douleur du personnage principal, par l’effet Koulechov. L’effet a pour but de nous aidé à comprendre le mal qu’il ressent. Lorsqu’il perd sont amie par exemple, nous comprenons fort bien, avec les images de la mer qui se déchaîne, qu’il est ravagé. Voir le film m’a donner envie de lire le livre, car j’ai trouvé l’histoire très captivante et je voudrais en savoir plus en profondeur sur l’aspect psychologique des personnages.

mardi 18 octobre 2011

FNC

Le 5 octobre dernier, nous avons rencontré Julien et Nicolas, des employés au Festival du Nouveau Cinéma. Ils sont venus nous parler du festival, de ce que nous pouvons voir, ce qui se passa là-bas etc. Le festival à lieu à Montréal chaque année, il diffuse plus de 300 films et accueil près de 150 000 visiteurs en quelques jours seulement. C’est l’un des plus vieux festivals au monde et il fête ces 40 ans cette année. À ce festival, nous pouvons voir des premières mondiales, tel que Assassin’s Creed, et nous pouvons rencontrer plusieurs personnes connues. Ce festival présente tout les genres de films connu et parfois inconnu. Le FNC est un moyen de faire connaître de nouvelles choses au public, mais surtout pour faire des rencontres dans le domaine du cinéma. Nous, étudiants en Arts et Lettres du cégep de Granby-Haute-Yamaska, nous rendrons à ce festival pour aller voir un film japonais : La balade de l’impossible, ce mercredi 19 octobre prochain.

J’ai bien hâte d’aller à ce festival après la conférence palpitante que nous avons eu!

mardi 27 septembre 2011

SOPHIE DERASPE

La réalisatrice du «docu-menteur», Rechercher Victor Pellerin, a suscité un grand intérêt pour moi. Le film est basé sur l'histoire d'un artiste très connu qui a brulé toutes ses œuvres pour ensuite disparaître du jour au lendemain. Une réaction inattendue pour ses proches qui, quinze ans plus tard, dévoilent ce qu'ils pensent de tout ça. J’ai beaucoup apprécié ce film car j'y croyais fermement et lorsque j'ai apprise que ce n'était qu'un canular, j’étais déçue. Je trouvais l'histoire très intéressante et j'aurais voulu en savoir davantage.

Lors de la conférence de mercredi dernier, Madame Deraspe nous a parlé de son parcours, de la raison de son choix de carrière ainsi que de son travail de réalisatrice. Ce sont les arts visuels et à la littérature qui ont menés Sophie Deraspe à travailler dans le domaine du cinéma.


Son dernier film «Les signes vitaux» réalisé en 2009, est un film complètement indépendant. Il a été produit par Les films siamois avec un budget de 1,1 millions $. Les personnages ne sont pas tous de grands acteurs connus du public, n’y professionnels tel que le personnage principal, jouée par Marie-Hélène Bellavance. Une diplômée de Concordia en Beaux arts. Le film «Les signes vitaux» raconte l’histoire de Simone, qui après la mort de sa grand-mère, travail dans un centre de soin palliatif et mettra sa vie de côté pour se dévouer à son travail. Mais son copain mécontent de son nouveau train de vie, l’aidera à sortir de son cercle vicieux.


Le prochain long métrage de Sophie Deraspe est prévu pour 2013.

Raphaëlle de Groot

Raphaëlle de Groot est une artiste en arts visuels et elle fait partie des artistes qui logent au 3eme impérial. Elle a créé avec des religieuses des dessins, les yeux fermés. Les religieuses devaient dessiner un objet qu’elles avaient en leur possession et madame de Groot devait les dessiner, elles, en même temps. Elles ne devaient pas regarder ce qu’elles faisaient. Elle a aussi tenté de faire l’expérience avec de vrais aveugles qui devaient dessiner son visage en la touchant. Elle a par la suite exposé toutes les œuvres en braille pour les non-voyants.
«Portrait de clients» est un autre projet a été réalisé à l’aide d’anciennes fiches de clients, oubliées dans une ancienne banque. Son œuvre était de recréer les clients à l’aide de personnes qui choisissaient le portrait des clients. Ils devaient indiquer à Raphaëlle de Groot où placer son pinceau, rouleau, etc. en lui disant des directives à faire.
«En exercice» est une autre œuvre qu’elle a créée à l'aide d'un ramassis de débris qu’elle accrochait à elle pour ensuite se suspendre par le pied, la tête en bas, les yeux bandés et tout sa charge. J’ai trouvé cette œuvre très accrocheuse, car c’est une idée qui sort de l’ordinaire, comme la peinture et la sculpture.

vendredi 26 août 2011

Autoportrait


        Ces yeux sont fonceurs et déterminés. Ces yeux veulent voir le monde, parcourir terres et mers pour découvrir de nouveaux paysages. Ces yeux aiment regarder les étoiles de la campagne ainsi que la lueur des lumières de la ville. Ces yeux s’ouvrent grand en remarquant attentivement les mouvements autour d’eux. Ils prennent leurs temps d’admirer les moindres petits détails de la vie. Ces yeux parlent d’eux-mêmes, d’un simple regard ils hypnotisent les gens. Ces yeux, ce sont les miens et je les trouve merveilleux…